Régulièrement, retrouvez sur Maxifoot des interviews surprenantes et décapantes des principaux acteurs du foot où vous apprendrez tout sur leur vie hors des pelouses du championnat. Les interviews que l'on appelle les «36 de Maxifoot» sont découpées en deux parties : côté terrain, et côté vie privée.
A 22 ans, Grégory Sertic est l'un des joueurs à suivre des Girondins de Bordeaux. Formé à l'INF Clairefontaine, le milieu de terrain offensif rejoint Bordeaux en 2005. Laurent Blanc lui donne sa chance chez les professionnels lors de la saison 2008-09, avec un titre de champion de France au bout. Prêté à Lens la saison dernière pour gagner du temps de jeu, il ne peut sauver les Sang et Or de la relégation. Sertic a retrouvé les Marine et Blanc l'été dernier.
Qu'est-ce que tu fais en général après un match ?
Soit je rentre directement chez moi, soit je vais manger au restaurant, ça dépend en fait. Si on gagne, j'aime bien aller au resto avec des amis. Sinon, je préfère rentrer chez moi.
Hormis le football, tu as une passion dans la vie ?
Oui, j'aime bien le golf et le tennis. Bon, au golf, je ne suis pas Tiger Woods, mais j'arrive à taper la balle. (rires) Je me fais plaisir. Avec le golf, je me libère l'esprit, ça me permet de penser à autre chose qu'au football.
Tu écoutes quoi comme musique ?
C'est varié, j'aime bien la House, ce qui passe en club, mais j'aime aussi la variété française, le rap.
Twitter ou Facebook ?
Aucun des deux, ce n'est pas mon truc. Facebook, ça attire les problèmes, et Twitter, je ne connais pas.
Tu regardes quoi à la télévision ?
Je regarde surtout des séries. Sinon, j'aime bien me poser devant un DVD. Dernièrement, je suis allé voir Projet X au cinéma. Je le conseille, c'est drôle, j'ai bien rigolé.
Quel est ton petit pêché mignon en nourriture ?
Ah, c'est le steak au poivre-frites de mon père. Franchement, c'est une tuerie ! La sauce est terrible. A chaque fois, je m'enfile une baguette entière pour la terminer. (rires) Je me régale avec ça une fois par mois.
Tu es superstitieux ?
Non, rien de particulier.
Quelle est la plus grosse bêtise que tu ais faite étant gamin ?
Quand j'étais en primaire, j'ai cassé un carreau de l'école avec un ballon… Bon après, il y en a d'autres, mais je ne vais pas m'en vanter ! (rires) On va se contenter de celle-là , elle est mignonne.
Si tu n'avais pas été footballeur, quel métier aurais-tu exercé ?
Dans le commerce je pense. Un peu comme mon père, qui travaille dans les produits pharmaceutiques et chimiques. J'aurais été commercial peut-être. Je n'ai pas forcément la tchatche, mais j'aime bien parler, je pense que j'arriverais facilement à vendre quelque chose. Et comme j'ai un bac et un BTS Management des Unités Commerciales…
Quelle est la personnalité la plus connue de ton répertoire téléphonique ?
Johnny Hallyday ! Non, je plaisante ! (rires) Des joueurs de foot : Hazard, GourcuffÂ…
Quelle est l'insulte qui t'échappe le plus souvent ?
Ta mère ! Ou con de ta mère ! Bah ouais, ça a du mal à rester là où ça devrait être… (rires)
Avec ton premier gros chèque, tu t'es acheté quoi ?
Je ne me suis pas fait plaisir pour moi, mais pour mon père et ma mère. Je leur ai fait des cadeaux.
C'était comment ta première fois avec une fille ?
(Joker)
Tu regardes quoi en premier chez une femme ?
Il faut regarder la fille dans sa globalité. Avec les filles, il faut avoir une bonne vision du jeu, un peu comme au milieu de terrain ! (rires) Il faut voir vite et bien. Il faut tout regarder, mais la tête, c'est le plus important quand même. Après, c'est important aussi de discuter. Parce que si tu t'aperçois qu'elle est belle mais pas du tout intelligente, il vaut mieux en rester là … (rires)
Si t'étais une fille, tu choisirais qui dans le vestiaire de Bordeaux ?
Moi !
Qui a la plus grosse voiture à Bordeaux ?
Yoan Gouffran. Il a une Ferrari. Après il y a aussi une Maserati à Bordeaux, il y a des belles voitures ici.
Tu pars où en vacances cet été ?
Aux Maldives et à Dubaï.
Tu te vois comment dans une dizaine d'années ?
Dans dix ans, je devrais encore jouer au foot, mais après, je me vois rester dans le milieu. Entraîner des enfants, ça me plairait bien, des poussins ou des benjamins, pour rigoler, ne pas me prendre la tête. Pour leur transmettre ce qu'on m'a appris.
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