3 apparitions seulement pour 56 minutes de jeu au total. En Ligue des Champions comme ailleurs, le bilan d'André-Pierre Gignac est bien maigre cette saison. Mais cela n'empêche pas l'attaquant marseillais de se sentir aussi important que n'importe quel autre joueur au sein de l'effectif olympien.
Et notamment en ce qui concerne les primes. Le Parisien révèle en effet que l'ancien Toulousain a réclamé sa part du gâteau après la qualification de l'OM pour les quarts de finale de la Ligue des Champions. Soit la prime de 60.000 euros promise aux joueurs – inscrits sur la feuille de match – par Vincent Labrune. Et ce même s'il était en tribune lors du 8e de finale retour face à l'Inter Milan.
Un salaire revu à la hausse la saison prochaine
Gignac ne voit pas où est le problème. «Je suis étonné de voir des articles me concernant, je n'ai rien demandé, le partage des primes est une règle dans le groupe depuis des saisons», a réagi le joueur sur son compte Twitter ce mardi. Si cette histoire de prime fait déjà jaser, une autre risque d'en faire tout autant.
Le Parisien indique également ce mardi que l'attaquant marseillais verra son salaire augmenter la saison prochaine, une clause fixée dans son contrat stipulant en effet que Gignac passera de 300.000 à 330.000 euros brut mensuels, et ce «quel que soit son niveau de performance».
On comprend mieux pourquoi José Anigo avait fait savoir il y a un mois que Gignac serait contraint de faire ses valises s'il ne parvenait pas à gagner sa place d'ici la fin de la saison…
Gignac doit-il recevoir la prime de qualification comme ceux qui ont joué face à l'Inter Milan ? L'OM doit-il absolument lui trouver un nouveau point de chute cet été ? N'hésitez pas à réagir dans la rubrique commentaires ci-dessous.