21 matchs disputés toutes compétitions confondues cette saison, mais seulement 7 titularisations. Dans l'esprit de Carlo Ancelotti, Kevin Gameiro, même s'il réussit de bonnes entrées en jeu, au point de recevoir les félicitations de Nasser Al-Khelaïfi après le 8e de finale retour de Ligue des Champions contre le FC Valence (1-1), n'a pas sa place dans le onze de départ du Paris Saint-Germain.
Encore remplaçant contre Nancy samedi (2-1), alors que Lucas, Pastore ou Lavezzi ont clairement besoin de souffler, l'ancien Lorientais a du mal à cacher son agacement. «Le plus important, c'est l'équipe, mais c'est vrai que c'est difficile», reconnaîtra d'ailleurs publiquement Gameiro en marge du match face aux Lorrains.
«Kevin était fou»
Dans l'entourage de l'international tricolore, on ne cache pas que l'attaquant parisien n'en peut plus. «Kevin n'est pas du genre à faire des histoires, mais il n'est pas dupe de la considération qu'on lui porte au club. La semaine passée a marqué un tournant. On ne l'a même pas averti avant (qu'il serait remplaçant contre Valence alors qu'Ibrahimovic était suspendu et Ménez blessé, ndlr). Kevin était fou», confie un proche de Gameiro au quotidien Le Parisien.
Encore deux gros mois à tenir pour l'ancien Lorientais, qui demandera très certainement à quitter le club francilien cet été. Pour tenter sa chance à l'étranger ? Le Borussia Dortmund, le FC Valence, Arsenal et Liverpool sont déjà prêts à lui donner sa chance.
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