«Pellegrini a parlé de nos dépenses. C'est un entraîneur fantastique, je respecte ça et au-delà de ça, il a une formation universitaire d'ingénieur. Je ne pense pas qu'un ingénieur ait besoin d'une calculette pour savoir que Mata vendu 44,5 millions d'euros et De Bruyne 21,5 millions d'euros, cela fait 66 millions de recettes. Et Matic acheté 25 millions d'euros et Salah 13 millions d'euros, cela fait 38 millions de dépenses. 66-38=28, donc Chelsea a généré 28 millions d'euros cet hiver.»
Le 10 février dernier, José Mourinho réglait ses comptes, c'est le cas de le dire, avec Manuel Pellegrini, lequel avait eu le malheur de relever les sommes dépensées par les Blues sur le marché des transferts. «Nous, on construit une équipe pour la décennie et eux ils ont une équipe pour gagner maintenant ou dans les 3-4 ans à venir», lâchait encore le manager de Chelsea, comme pour mieux enfoncer le clou.
«Le pire Barça»
Après l'entraîneur de Manchester City, c'est Arsène Wenger qui faisait les frais du retour en forme du Special One. «Wenger est un spécialiste de l'échec. Huit ans sans rien gagner, c'est un échec. Si moi je fais ça avec Chelsea, je quitte Londres et je ne reviens pas», affirmait l'ex-entraîneur du Real Madrid le 14 février, jour de la Saint-Valentin. Bonne fête Arsène.
Après Pellegrini et Wenger, c'est une vieille connaissance que Mourinho a égratignée hier lundi : le FC Barcelone, adversaire de Manchester City lors des 8es de finale de la Ligue des Champions. «Bien sûr, par l'histoire, Barcelone est favori, mais cette saison, il démontre qu'il n'est pas le même que les années précédentes. Même s'ils ont Lionel Messi, qui est spécial, Manchester City aura des chances de se qualifier parce que, pour moi, c'est le pire Barça que j'ai vu depuis de nombreuses années», a ainsi lâché le manager de Chelsea sur la chaîne de télévision britannique ITV.
Si les Citizens échouent face aux Blaugrana, le Portugais pourra alors en remettre une couche sur Manuel Pellegrini...
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