le 26/09/2014 à 19h09

PSG : la position de Cavani, le prix de David Luiz, l'OM leader... Autant de sujets qui agacent Blanc

Laurent Blanc a la tête des mauvais jours actuellement.
Il est temps que la semaine se termine et qu'il prenne un peu de repos. Même si son équipe a renoué avec le succès mercredi à Caen (2-0), c'est un Laurent Blanc fatigué nerveusement et donc facilement irritable qui s'est présenté en conférence de presse ce vendredi. Tous les sujets étaient bons pour l'énerver.

On commence par quoi ? La position d'Edinson Cavani ? D'accord. Avec la blessure de Zlatan Ibrahimovic, l'Uruguayen était aligné dans l'axe à Caen mercredi (0-2). Mais il n'a pas marqué. Alors, vaut-il mieux finalement le laisser sur le côté mais si cela lui déplaît ? Une question qui agace toujours autant Laurent Blanc.

«Quand il a marqué cette saison, il était en position décalée. C'est un vieux débat, un débat continuel sur la position d'Edi. Sur le dernier match il a joué dans l'axe, s'est procuré des occasions, malheureusement sans les convertir. Je vous le répète depuis un an et demi, c'est un garçon qui marquera et qui marque des buts», a indiqué l'entraîneur parisien en conférence de presse ce vendredi. Une conférence de presse marquée par un taux d'irritabilité extraordinairement élevé chez le Cévenol.

Marquinhos peut-il reléguer David Luiz sur le banc ?

Tout était bon à l'agacer. Même quand on lui a demandé si le retour de Thiago Silva pouvait être un casse-tête pour lui au regard des performances actuelles de Marquinhos, lequel reste pour l'heure numéro trois dans la hiérarchie des défenseurs centraux derrière David Luiz, recruté, rappelons-le, pour 49,5 millions d'euros durant l'intersaison.

«Si tu commences à entrer dans ce raisonnement, et c'est peut-être le cas de certains, tu prends la liste des transferts et des salaires et tu l'as, ton équipe. Et là, tu n'as pas besoin d'un entraîneur», a répondu un Blanc toujours aussi remonté. Bon, on tente une question sur la concurrence avec l'OM, solide leader après 7 journées, alors ? Il ne fallait pas non plus, non...

La concurrence avec l'OM pour le titre, un sujet à éviter aussi...

«On verra, on verra, on verra. Faites-moi parler de mon équipe, de l'équipe de Toulouse si vous voulez, du contexte du PSG. Je ne suis pas là pour parler des autres adversaires, je ne suis pas là pour faire une conférence de presse pour parler de toute l'actualité du football. Je suis là pour parler du PSG, des joueurs, du club», a rappelé l'entraîneur parisien.

Une victoire à Toulouse demain samedi (17h), un peu de repos, et ça ira mieux la semaine prochaine.

Que pensez-vous des déclarations ? Comprenez-vous qu'il puisse être agacé par ces questions ? N'hésitez pas à réagir dans la rubrique «commentaires» ci-dessous.

Par Pierre-Damien Lacourte, le 26/09/2014 à 19h09
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