Peu connu en France avant sa superbe Copa America avec le Chili, Charles Aranguiz (26 ans) se retrouve au coeur d'une énorme bataille entre plusieurs clubs européens dont l'Olympique de Marseille. Malgré des moyens financiers limités, les dirigeants phocéens seraient prêts à faire une petite folie pour ce joueur afin de satisfaire les demandes de Marcelo Bielsa. Mais comme nous vous l'indiquions plus tôt ce mardi, ce dossier est compliqué (voir ici).
Aranguiz annoncé à Leverkusen...
Mais ces dernières heures, le dossier Aranguiz s'est clairement emballé. Alors que son départ du SC Internacional ne fait visiblement plus de doute, son futur club n'est pas encore connu. D'après la radio brésilienne Grenal, l'international chilien va rejoindre le Bayer Lekerkusen. En effet, le milieu de terrain du SC Internacional serait vendu au club allemand pour 15 millions d'euros. Toujours selon cette source sud-américaine, l'arrivée d'Aranguiz à Leverkusen sera officialisée dans la journée. La fin d'un rêve pour les supporters phocéens ? Pas forcément.
... mais aussi à Marseille
Car dans le même temps, le site chilien Chilenos Por El Mundo a indiqué que l'Olympique de Marseille était en pole sur ce dossier avec une proposition de 13 millions d'euros ! Avec ces deux informations contradictoires, difficile de s'exprimer sur l'avenir d'Aranguiz, surtout que L'Equipe annonce de son côté que ce sont les Anglais de Leicester qui tiennent la corde...
Pour ne rien simplifier, il faut aussi souligner que l'international chilien appartient à 50% au fond d'investissement DIS. Pour le transfert d'Aranguiz, il faut donc trouver à la fois un accord avec le SC Internacional et avec DIS. Et à ce petit jeu, l'OM aurait donc une petite longueur d'avance sur ses concurrents selon plusieurs sources dont le média Zero Hora. Il va falloir patienter avant d'être fixé sur l'avenir du milieu de terrain...
Que pensez-vous de cette bataille pour Charles Aranguiz ? Est-ce que l'OM doit tout faire pour le convaincre ? N'hésitez pas à réagir dans la rubrique «commentaires» ci-dessous.