"Je repense au penalty qui n'a pas été sifflé en notre faveur. Le cinquième arbitre était à un mètre de la faute. Cela sert à quoi si c'est pour faire ça ? Après le match contre la Juventus la saison dernière, je l'avais déjà dit et je le répète : le moment est venu de mettre en place l'arbitrage vidéo. Les enjeux sont très hauts et on ne peut pas permettre cela", a indiqué le dirigeant monégasque dans des propos rapportés par RMC.
En attendant, Monaco devra inverser la tendance à Louis-II la semaine prochaine lors du match retour.