Avec sept points pris en six matchs (2v, 1n, 3d), seulement deux buts marqués et une 17e place au classement, Nantes vit un début de saison compliqué. Et ce n'est pas le match reporté mercredi soir qui va arranger la situation.
Le stade Pierre-Mauroy ayant été mobilisé pour l'Euro de basket, la rencontre entre le LOSC et Nantes comptant pour la 7e journée de Ligue 1 n'a pas pu avoir lieu. Le président des Canaris, Waldemar Kita regrette de ne pas avoir eu son mot à dire et en veut énormément à la LFP.
Kita regrette de ne pas avoir eu son mot à dire
«On aurait pu faire autrement, inverser l'ordre du match, mais on ne nous a pas posé la question. Tout le monde joue, sauf nous, et tout d'un coup, on va devoir affronter le PSG et se déplacer deux fois d'affilée. Ça, c'est de la planification ! C'est un manque de sérieux et de respect par rapport à notre club» , a-t-il estimé dans les colonnes de L'Equipe, avant d'aller encore plus loin.
W. Kita - «l'impression d'une dictature»
«J'ai l'impression d'une dictature. Moralité, si on avait joué Lille cette semaine, on aurait récupéré notre avant-centre (Sigthorsson, suspendu) contre le PSG. En plus, ça ne sert à rien de gueuler sinon tu te fais mal voir» , a asséné Kita ! Le match face à Lille est reprogrammé mardi prochain, entre la réception du PSG ce week-end et le déplacement à Nice le week-end prochain. Contrairement à son prochain adversaire parisien, les Canaris auront au moins eu l'avantage de bénéficier d'une semaine complète de repos...
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