Et si l'aventure de Mario Balotelli à Nice n'était pas encore terminée ? Auteur de la meilleure saison de sa carrière sur le plan statistique (15 buts en Ligue 1), l'attaquant semblait sur le départ de l'OGCN avec la fin de son contrat au terme du mois de juin et l'intérêt de plusieurs clubs européens, comme le Borussia Dortmund ou encore l'Olympique de Marseille.
Malgré sa belle saison, Nice paraissait hors-course puisque le club azuréen n'était pas en mesure d'assumer le salaire imposant de l'Italien, estimé à 450 000 euros par mois l'an dernier, selon les propos tenus par le président Jean-Pierre Rivère. Et pourtant, des discussions sont en cours !
Nice n'a pas dit son dernier mot pour Balotelli
En effet, d'après les informations du quotidien sportif L'Equipe, le récent 3e de Ligue 1 tente actuellement de retenir Balotelli. Conscient de la difficulté de trouver sur le marché un avant-centre de cette qualité, le Gym aurait ainsi entamé des négociations avec l'agent du joueur de 26 ans, Mino Raiola, pour poursuivre cette collaboration.
Même si le coach niçois Lucien Favre n'a pas toujours été satisfait de l'implication de l'avant-centre, le technicien suisse a également validé cette idée, qui permettrait à Nice de conserver des ambitions élevées. De son côté, malgré des contacts à l'étranger, Balotelli ne serait pas insensible à cette proposition.
La vente de Seri sera décisive
Mais comment Nice va-t-il pouvoir payer le salaire du Transalpin ? Avec la vente de Jean-Michaël Seri ! Très courtisé lors de ce mercato d'été, l'Ivoirien va assurément quitter les Aiglons, mais pour l'instant le Gym a refusé toutes les offres le concernant. Loin d'être pressé sur ce dossier, l'OGCN fait grimper les enchères entre les prétendants du milieu pour obtenir le montant le plus proche de sa clause libératoire, fixée à 40 millions d'euros. Le dossier Balotelli ne sera pas simple pour Nice à cause d'une forte concurrence, mais l'espoir existe bel et bien !
Que pensez-vous de la tentative de l'OGC Nice de retenir Mario Balotelli ? Quel avenir pour l'Italien ? N'hésitez pas à réagir dans la rubrique «commentaires» ci-dessous.