"J'adorais les un contre un. Je n'avais pas peur. La douleur, c'est dans la tête. Pour me prouver que la douleur était imaginaire, je disais à ma femme : 'Éteins ta cigarette ici, sur mon bras', a d'abord expliqué celui qui a été surnommé "le Boucher de Séville" dans un reportage pour RMC Sport. Ce dernier a même été comparé à un Nazi dans son pays. Il y a eu quelques gros titres assez violents. Schumacher est fait du même bois que les gardiens de Dachau et Auschwitz. On devrait se poser des questions là -dessus. On a essayé de kidnapper mes enfants. L'école a appelé. Il y avait un type devant l'école qui disait que j'étais mort et il voulait partir avec mes enfants."
Un sujet toujours aussi sensible, 38 ans plus tard.