Régulièrement, retrouvez sur Maxifoot des interviews surprenantes et décapantes des principaux acteurs du foot où vous apprendrez tout sur leur vie hors des pelouses du championnat. Les interviews que l'on appelle les «36 de Maxifoot» sont découpées en deux parties : côté terrain, et côté vie privée.
A 32 ans, Grégory Paisley est un titulaire indiscutable au sein de la défense centrale de l'OGC Nice cette saison, un club qu'il a rejoint cet été en provenance du RC Strasbourg, qu'il a fréquenté durant deux saisons (2007-08 en Ligue 1 et 2008-09 en Ligue 2). Ce natif de Paris effectue ses premiers pas chez les professionnels au Paris Saint-Germain, son club formateur, après un bref passage par la Suisse et le Servette Genève en 1997. En 2000, Grégory Paisley prend la direction de Rennes, qu'il quitte en 2002 pour rejoindre Le Havre. Une saison plus tard, celui qui était latéral gauche à cette époque rejoint Sochaux, avec qui il remporte la Coupe de la Ligue en 2004. En 2005, ce grand voyageur part à Metz, où il ne reste que six mois avant de filer à Troyes en janvier 2006 puis de rejoindre Strasbourg au cours de l'été 2007. Le défenseur niçois compte aujourd'hui plus de 220 matchs de Ligue 1 à son actif.
Qu'est-ce que tu fais en général après un match ?
Je rentre chez moi, tranquillement. Maintenant, cette saison à Nice, on joue souvent le dimanche à 17 heures. Alors parfois, j'ai le temps de me faire un petit resto.
Hormis le football, tu as une passion dans la vie ?
Non, pas vraiment. C'est peut-être banal, mais depuis que j'ai mes filles, je suis devenu casanier. En dehors du foot, je passe du temps avec mes deux filles et mon épouse.
Tu regardes quoi à la télévision ?
Soit des bons films américains, soit des reportages, genre «Capital» ou «Complément d'enquête» .
Ton consultant préféré à la télévision ?
J'aime bien Christophe Dugarry, il est vraiment pertinent je trouve.
Tu écoutes quoi comme musique ?
Du R'n'B et de la soul music essentiellement.
Ton petit pêché mignon en nourriture ?
Le chocolat.
Est-ce que tu es superstitieux ?
Non, non, ça va.
La plus grosse bêtise que tu ais faite en étant gamin ?
Je n'ai jamais vraiment fait de grosse bêtise. J'étais un gamin assez tranquille en fait. (rires) Enfin une fois, je me souviens, j'avais voulu me couper les cheveux tout seul, me faire une petite coupe ! (rires) Bon… J'avais 4-5 ans.
Si tu n'avais pas été footballeur, quel métier aurais-tu aimé exercer ?
J'aurais peut-être essayé de devenir kiné, comme j'aime bien le sport.
Que penses-tu du site non-au-racisme.com, ouvert en décembre dernier et parrainé par Abdeslam Ouaddou ?
C'est bien de combattre le racisme. Maintenant, je comprends ceux qui disent qu'il ne faut pas en parler pour ne pas donner de mauvaises idées à certains. Mais on ne peut pas occulter ce sujet non plus. Il faut trouver un juste milieu en fait : combattre le racisme mais sans mettre en avant la bêtise de quelques-uns.
Quelle est la personnalité la plus connue de ton répertoire téléphonique ?
Sarko ! Non, je rigole ! (rires) Ca doit être un footballeur. Bernard Lama, Edouard Cissé.
Quelle est l'insulte que tu sors le plus souvent ?
«Sa mère !» (rires) Quand je rate une passe ou un truc comme ça, j'ai du mal à m'empêcher de dire ça.
C'était comment ta première fois ?
Bien, ouais, ouais.
Tu regardes quoi en premier chez une femme ?
En général, les mains. Ouais, je fais attention à ce détail.
Si t'étais une fille, tu choisirais qui dans le vestiaire de Nice ?
(rires) C'est quoi cette question ? Moi ! Bah oui, je me choisis ! Sinon, oui, le Moun' (Anthony Mounier) a une bonne tête.
Qui a la plus grosse voiture à Nice ?
Ca doit être Mamadou Bagayoko, il a une Audi R8.
Tes vacances de rêve, tu les passerais où ?
Je les ais déjà passées, c'était aux Maldives, avec toute la famille Paisley, et la famille Ducrocq aussi, on était partis ensemble.
Tu te vois comment dans une dizaine d'années ?
Dans dix ans, je serai toujours aussi beau gosse ! (rires) Non, je déconne. Je me vois heureux et posé, en région parisienne, près de Saint-Germain, avec ma petite famille. J'espère avant tout être un bon père de famille.
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