Cristiano Ronaldo va fêter ses 40 ans le 5 février prochain et il ne compte toujours pas prendre sa retraite. Un retour sur sa terre natale pour finir sa carrière n'est d'ailleurs pas prévu dans un avenir proche. Son futur, l'attaquant portugais le voit encore et toujours à Al Nassr.
555 000 euros par jour
Une évidence ? Pas tant que ça. Depuis son arrivée à Riyad, il y a désormais deux ans, le quintuple Ballon d'Or a fait parler la poudre avec 79 buts inscrits en 88 matchs, un total impressionnant pour un joueur de son âge. Seulement, son palmarès sur le plan collectif reste bien maigre avec seulement une Coupe arabe des clubs champions glanée en 2023, une compétition qui n'est pas reconnue par la FIFA. Un manque de résultats qui aurait pu peser sur son moral. Mais il faut dire que ses dirigeants savent lui parler.
Selon Marca, le meilleur buteur de l'histoire du Real Madrid s'apprête à prolonger son contrat, qui expire en juin prochain. Une petite rallonge d'une année supplémentaire, jusqu'à la prochaine Coupe du monde, pour ne pas trop se projeter à un âge aussi avancé. Ses émoluments ? Toujours aussi élevés, puisque son salaire annuel net s'élèvera à 183 millions d'euros pour la saison 2025-2026. Soit 15,25 millions d'euros par mois, 3,8 millions d'euros la semaine ou encore 550 000 euros par jour. De quoi oublier l'absence de titres majeurs.
Deux casquettes supplémentaires pour Ronaldo
En plus de ce salaire mirobolant, Ronaldo aura droit à d'autres avantages particulièrement alléchants. Il aura notamment son mot à dire sur le recrutement, et ce dès ce mercato hivernal. Sa dernière requête ? La signature de Casemiro, poussé vers la sortie par Manchester United. Un premier nom clinquant glissé à sa direction en attendant d'autres suggestions, alors qu'Al Nassr a déboursé près de 100 millions d'euros lors du dernier marché estival pour des joueurs comme Mohamed Simakan, Ângelo, Bento et Wesley.
A ce rôle de directeur sportif officieux, Ronaldo pourra ajouter une casquette supplémentaire : celle d'actionnaire. Et pour cause, l'ancienne gloire de Manchester United et du Real Madrid s'est vu proposer 5% des parts du club. Une offre très intéressante avec la volonté de l'Arabie Saoudite de faire de son championnat un pôle majeur du football mondial à près de dix ans de sa Coupe du monde. D'ici-là, le champion d'Europe 2016 aura le temps de faire fructifier un peu plus ses affaires avec ce nouveau rôle.
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