La nouvelle version de la Coupe du monde des clubs - qui aura lieu du 15 juin au 13 juillet - ne plaît pas aux joueurs, calendrier infernal oblige, mais les dirigeants ont un avis différent. À l'image de Nasser Al Khelaïfi, président du Paris Saint-Germain et fervent défenseur de la compétition organisée par la FIFA. Dont une partie des bénéfices pourrait, selon lui, ruisseler sur le football français.
"Il y a des défis, c'est sûr, mais la base du tournoi est une bonne chose. Ce n'est pas un nouveau tournoi, cela remplace un tournoi existant. Il n'ajoute pas beaucoup de travail aux joueurs non plus car ça n'a lieu que tous les quatre ans et avec un petit nombre d'équipes (32 contre 7 par le passé, ndlr). (…) Il y a une grosse partie des revenus qui seront considérés comme de 'solidarité' pour tout le système du football européen, y compris, donc, les autres clubs français", a confié le boss parisien à L'Équipe.Brève lue par 10.239 visiteurs |