le 16/02/2012 à 17h26

L’OM devra apprendre à vivre et surtout à gagner sans Rémy, notamment face à l’Inter Milan !

L. Rémy sera indisponible pendant trois semaines
Confronté à un calendrier surchargé en raison de sa présence sur tous les tableaux, l'OM jouera une partie de son avenir européen et en championnat sans son atout offensif numéro un. Loïc Rémy sera en effet forfait pendant trois semaines…

L'OM n'avait pas besoin de ça. Encore engagé sur quatre tableaux, l'OM a démarré mercredi soir une série de quatre matchs en douze jours, de onze en trente-neuf jours, et peut-être même de quatorze en quarante-sept jours (1 tous les 3,4 jours) si Marseille se qualifie pour les quarts de finale de la Ligue des Champions ! Un planning surchargé qui pourrait jouer de mauvais tours aux troupes de Didier Deschamps.

Rémy manquera cinq ou six matchs, dont l'aller face à l'Inter

D'autant que les Olympiens seront privés de leur meilleur atout offensif lors des cinq ou six prochains matchs. Loïc Rémy sera en effet indisponible pendant environ trois semaines ! Contraint de céder sa place à la mi-temps du match face au FC Bourg-Péronnas (3-1), mercredi, lors des 8es de finale de la Coupe de France, l'attaquant de l'OM souffre d'une lésion aux ischios avec une zone de décollement importante du demi-tendineux, a annoncé le club marseillais ce jeudi.

En plus de quatre ou cinq journées de championnat, face à Valenciennes, Brest, Toulouse, Evian TG et peut-être Ajaccio, l'international français manquera donc le match aller de Ligue des Champions face à l'Inter Milan mercredi prochain. Un véritable coup dur pour l'OM. Car si Rémy pourrait effectuer son retour lors du match retour face à l'Inter, son absence au Vélodrome pourrait peser lourd dans la balance, à moins que Brandao ne réussisse à faire des miracles…

Pensez-vous que l'absence de Rémy sera préjudiciable, notamment contre l'Inter Milan ? Le ressort de l'OM risque-t-il de se fissurer ? Pour en débattre, rendez-vous ci-dessous dans l'espace «Publiez un commentaire» …

Par Nicolas Lagavardan, le 16/02/2012 à 17h26
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