le 17/09/2012 à 17h35

Nice : Anin n’a pas fauté, le club lui apporte un soutien sans faille

K. Anin soutenu par ses dirigeants
Accusé d'avoir séché l'entraînement délibérément et sans prévenir la semaine dernière, Kevin Anin a reçu ce lundi le soutien de ses dirigeants. L'OGCN a souhaité redorer l'image de son joueur et a démenti toute volonté de le sanctionner à son retour…

Depuis plusieurs années, Kevin Anin traîne derrière lui une mauvaise réputation liée à ses absences répétées à l'entraînement. D'abord à Sochaux et désormais à Nice, où il a disparu durant la trêve internationale. Mais les dirigeants de l'OGCN n'ont pas l'intention de sanctionner leur milieu de terrain. Bien au contraire, puisqu'ils lui ont manifesté tout leur soutien.

Anin absent pour problèmes personnels

«Accusé par le passé de comportements équivoques ou ambigus, Kevin Anin est bien éloigné de l'image du mauvais garçon que l'on a parfois bien voulu dépeindre.» Ses absences aux entraînements ces derniers jours «ne peuvent être réduites à un dilettantisme irrespectueux envers le Club et ses coéquipiers, le joueur faisant face à de sérieux problèmes personnels, et se trouvant d'ailleurs actuellement auprès de sa famille» , a expliqué le Gym ce lundi par la voie d'un communiqué.

Nice appelle à la mesure

Contrairement à ce qui s'est dit la semaine passée, Anin n'a donc pas quitté le groupe sans autorisation et n'aura pas à en payer le prix à son retour. L'OGCN assure que l'ancien Lionceau est parfaitement conscient des devoirs inhérents à l'exercice de son métier, ainsi que vis-à-vis du collectif, «et sait pouvoir compter sur le soutien de son club pour l'accompagner dans ses difficultés passagères» .

S'il espère le revoir dès que possible sur les terrains à son meilleur niveau, le Gym n'avance en revanche aucune date de retour mais appelle le public et les commentateurs à faire preuve «de pudeur en respectant l'intimité à laquelle chaque individu a droit.» Le message est passé…

Que vous inspire le cas Anin ? Pour en débattre, rendez-vous ci-dessous dans l'espace «Publiez un commentaire»…

Par Nicolas Lagavardan, le 17/09/2012 à 17h35
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