La situation n'était guère compliquée. Le Milan AC et l'Atletico auraient d'ores et déjà conclu un accord concernant le transfert de Fernando Torres. El Nino se dirigeait tout droit vers le club de ses débuts en Espagne. A la condition qu'Alessio Cerci, peu utilisé par Diego Simeone, accepte d'emprunter le chemin inverse.
Cerci nie tout accord avec l'Inter
Hors, selon les médias italiens, ce dernier n'avait nullement l'intention de rejoindre les Rossoneri. Mais son avenir se dessinait bel et bien dans la ville lombarde… du côté du rival, l'Inter, à qui il aurait donné son accord. Mais cette version des faits vient d'être catégoriquement réfutée par l'intéressé.
Sur sa page Facebook, Cerci a remis les pendules à l'heure. «J'ai lu des choses fausses et fantaisistes à mon sujet. Je n'ai refusé aucun accord, et discuté avec personne. Je suis un joueur de l'Atletico et je chercherai, avec les dirigeants, le meilleur accord possible pour l'équipe» , a-t-il fait savoir sur sa page Facebook. Et ce n'est pas tout…
L'échange Torres-Cerci peut débuter
Selon Sky Sports, l'Italien actuellement en vacances aurait même donné son aval auprès de ses dirigeants pour lancer l'opération. Torres pourrait donc effectuer son grand retour chez les Colchoneros où il avait débuté sa carrière, 7 ans après son départ.
Certains en revanche doutent de la sincérité de Cerci, et supputent que voyant la situation en l'état, il s'est rétracté avec l'Inter, désireux avant tout de quitter l'Espagne. Et arriver au Milan AC en ayant clamé son amour pour les Nerazzurri peu de temps lui assuraient un accueil pour le moins glacial. Alors, l'ancien joueur du Torino a-t-il fait marche-arrière pour s'éviter un passage sous les fourches caudines à son arrivée à Milan ?
Et vous, pensez-vous que l'échange Torres-Cerci, s'il se concrétisait, puisse être bénéfique aux deux formations ? Pour en débattre, n'hésitez pas à réagir dans la rubrique «Publiez un commentaire» ci-dessous…