Adrien Rabiot n'a pas fini de donner des maux de tête aux décideurs du Paris Saint-Germain. En fin de contrat en juin prochain, le milieu de terrain refuse catégoriquement de prolonger. Du coup, un départ cet hiver, contre la modique somme de 5 millions d'euros, ne déplairait pas au club de la capitale.
Mais, car il y a toujours un mais avec le natif de Saint-Maurice, sa mère, Véronique Rabiot, adore être en position de force. Et cette dernière, prête à tout pour obtenir le meilleur arrangement financier pour son fils, joue également avec les nerfs du FC Barcelone, favori pour accueillir le joueur de 23 ans.
La mère de Rabiot veut 5 M€ de plus
Selon les informations de Paris United, Véronique Rabiot se montre effectivement très gourmande. Alors qu'un accord a été trouvé pour reverser un salaire annuel de 10 millions d'euros à l'international tricolore, sa représentante veut renégocier le montant de la prime à la signature. Au lieu des 10 millions d'euros promis par le club catalan, le clan Rabiot veut désormais faire grimper la facture à 15 millions d'euros.
Pourquoi cette nouvelle somme ? D'après le média spécialisé, Véronique Rabiot, estimant que le représentant de la formation espagnole, Eric Abidal, n'a pas été difficile à convaincre, souhaite obtenir une rallonge supplémentaire pour voir jusqu'où iront les dirigeants barcelonais. Une manière de tester leur motivation à quelques heures de l'ouverture officielle du mercato hivernal.
Le Barça pas pressé, Paris bloqué
Bien évidemment, ce nouveau rebondissement n'arrange pas vraiment le champion de France en titre, qui ne veut plus avoir à faire avec Rabiot, écarté du groupe et à qui il reste encore six mois de salaire à payer. En effet, si le Barça n'est pas contre enregistrer son arrivée au mois de janvier, à condition de baisser le montant initial de la prime à la signature, cette nouvelle ne devrait très certainement pas les inciter à passer à l'action pour le mois à venir.
D'autant que Paris United confirme la volonté de Tottenham de recruter Rabiot en lui proposant un contrat de 3 saisons, rémunéré à hauteur de 8 millions d'euros par an, sans prime à la signature, le club londonien soumettant toutefois au PSG un chèque intéressant (au-dessus des 5 M€ demandés) pour libérer le joueur dans les prochains jours. Un transfert encore plus improbable après la nouvelle requête de Madame Rabiot, bien décidée à faire payer Paris… et le futur acquéreur.
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