Ce week-end, un gamin de 16 ans a éclipsé les stars barcelonaises. Après la victoire du FC Barcelone contre le FC Valence (5-2), les supporters blaugrana et les observateurs en Espagne n'avaient qu'un nom à la bouche : Ansu Fati.
Une clause libératoire fixée à 100 M€
Auteur d'un but et d'une passe décisive pour sa première titularisation avec le Barça, le jeune attaquant épate son monde dans ce début de saison, profitant des absences pour gratter du temps de jeu avec l'équipe première. A tel point que le club catalan sent venir la menace d'une approche des autres grands clubs européens. Lorsqu'un si jeune talent brille, tout le monde veut l'avoir.
En juillet dernier, le FC Barcelone annonçait fièrement la prolongation du joueur originaire de Guinée-Bissau jusqu'en 2022. Dans le même temps, sa clause libératoire avait été fixée à 100 millions d'euros. Un montant dissuasif à l'époque, mais plus autant à présent. Certains clubs fortunés n'hésiteront pas à casser leur tirelire pour un phénomène s'il confirme ses belles prestations au cours de la saison.
Un salaire évolutif en fonction de son statut
Alors que le souvenir du départ de Neymar est encore frais dans les têtes de certains dirigeants barcelonais (le PSG avait payé sa clause libératoire de 222 M€ en 2017), le Barça veut donc déjà offrir un nouveau contrat à son joueur, selon Catalunya Radio. Evidemment, l'objectif principal est d'augmenter la clause libératoire grâce à la signature de ce nouveau bail.
Pour le convaincre, la direction barcelonaise lui offre un contrat de 5 ans avec une prime de renouvellement de 700 000 €. S'il reste affilié à l'équipe réserve, Ansu Fati percevra un salaire de 300 000 € pour sa première saison, avec une augmentation de 50 000 à 100 000 € par an. En revanche, en s'imposant en équipe première, sa rémunération annuelle grimperait à 1 M€. Et il toucherait ensuite 250 000 € supplémentaires par an. Une proposition qui aurait déjà convaincu le joueur et son entourage. Affaire à suivre...
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