Régulièrement, retrouvez sur Maxifoot des interviews surprenantes et décapantes des principaux acteurs du foot où vous apprendrez tout sur leur vie hors des pelouses du championnat. Les interviews que l'on appelle les «36 de Maxifoot» sont découpées en deux parties : côté terrain et côté vie privée.
A 22 ans, Nolan Roux connaît un début de carrière tonitruant. Barré à Lens, l'attaquant peroxydé a rejoint le Stade Brestois l'an passé avec l'ambition de découvrir les joutes professionnelles. Le Compiégnois a fait bien mieux ! Avec ses 15 buts en 34 matches de Ligue 2, Roux a grandement participé au retour des Finistériens en Ligue 1, dix-neuf ans après. Devenu le chouchou du stade Francis-Le Blé, l'ascension fulgurante de l'ancien Lensois s'est prolongée jusqu'en équipe nationale avec deux capes et deux buts chez les Espoirs. Et maintenant ? Une belle saison avec Brest, c'est déjà bien parti pour avec une 4e place au classement et 3 buts à son actif. Après ? «Je ne me fixe pas de limites…»
Qu'est-ce que tu fais en général après un match ?
Si j'ai marqué, je regarde mon téléphone pour voir les messages de félicitations (rires). Sinon, je rentre chez moi et, comme j'ai du mal à dormir généralement, je joue à la Playstation ou je regarde le résumé de la rencontre à la TV.
Hormis le football, ta principale passion dans la vie ?
La pêche, que j'ai découverte à Brest. Sans être une passion, c'est ma principale activité après le foot.
Ton émission TV que tu ne rates jamais ?
Je ne suis pas trop TV, mais je dirais les émissions comme Enquête exclusive.
Ton consultant de foot préféré, c'est qui ?
Christophe Dugarry n'est pas mal. En plus, c'était un attaquant…
Tu écoutes quoi comme musique ?
J'ai des périodes. Du rap «calme» , du funk, du r'n'b. Et de temps en temps, un peu d'électro.
Si tu m'invites chez toi, tu me fais quoi à manger ?
Un bar au barbecue ou un bar au beurre d'escargot. A chaque fois que j'ai de la famille qui vient, on m'en redemande. Un poisson que j'aurais pêché.
Quelle est la plus grosse bêtise que tu aies faite étant gamin ?
Je devais avoir 5 ou 6 ans, et j'avais rayé la voiture neuve de mon grand-père avec mon cousin. Avec des ardoises, on avait fait des dessins dessus.
Si tu n'avais pas été footballeur, quel métier aurais-tu exercé ?
Je ne sais vraiment pas. Même footballeur, ce n'était pas une idée fixe. Pour moi, c'était une passion partagée avec les copains au départ. Ensuite tout a été très vite.
Quelle est la personnalité la plus connue de ton répertoire ?
Olivier Monterrubio et Julien Sablé.
Il vaut mieux jouer attaquant que défenseur. Plus tu marques, plus tu gagnes ?
Evidemment, les attaquants sont mieux payés que les défenseurs. Mais moi je vois ça différemment. Plus tu marques, plus tu fais lever la foule et les gens t'adorent. D'ailleurs, quand on commence le foot, tout le monde veut jouer attaquant.
Avec ton premier gros chèque, tu as acheté quoi ?
C'était ma première prime de signature à Lens, j'avais acheté ma première voiture. Une BMW série 1… que j'avais achetée à crédit en plus ! (rires)
Tu regardes quoi en premier chez une femme ?
Ses mains, et après ses cheveux. Si une femme prend soin de ses mains, c'est généralement qu'elle prend soin d'elle.
C'était comment ta première fois ?
Bien (rires). J'avais 14 ou 15 ans.
Si t'étais une fille, tu choisirais qui dans le vestiaire brestois ?
A mon avis, Steeve (Elana) et Ahmed (Kantari) plaisent bien aux filles.
La plus grosse folie que tu aies faite pour une femme ?
Je lui ai acheté une voiture.
Tes prochaines vacances de rêve, tu les passes où ?
J'attends un enfant, donc ce n'est pas prévu. Mais le Mexique peut-être.
Une nuit de folie avec Pierre Ménès ou 3 mois sous terre avec Raymond Domenech ?
Allez, une nuit de folie avec Pierre Ménès (rires).
La retraite à quel âge ?
Déjà 60 ans, je trouve que cela fait beaucoup. Notamment pour les gens qui travaillent à l'usine. Moi, je dirais 55 ans pour les métiers pénibles et 60 ans pour les autres. Travailler c'est la vie, mais les gens ont aussi le droit de profiter de leur retraite !
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